Vous cherchez un moyen de travailler de chez vous, sans diplôme, sans chef et sans vendre votre âme sur LinkedIn ?!
Alors, ouvrez bien les yeux : devenir mandataire d’intermédiaire d’assurance, c’est peut-être le seul métier d’avenir que personne ne regarde — et tant mieux pour vous.
Je ne vous parle pas d’e-commerce cloné ni de tunnel à 200 balles avec 17 upsells foireux.
Je vous parle d’un vrai job, légal, rentable, qui génère des commissions chaque mois tant que vos clients restent.
Un métier discret, qu’on ne vous vend pas en pub YouTube, mais qui peut vous rapporter bien plus qu’un CDI, sans la laisse qui va avec…
Aujourd’hui, gagner sa vie en ligne, c’est devenu un p*tain de chantier.
L’IA recrache du contenu à la chaîne, les influenceurs se copient, les plateformes changent les règles comme de chemise.
Même un stagiaire peut faire croire qu’il est expert avec trois prompts mal traduits.
Résultat : les imposteurs font illusion, les sérieux galèrent, et vous, vous ramez.
Pas parce que vous êtes mauvais. Juste parce que vous n’avez pas trouvé le bon point d’entrée.
La vraie question c’est pas « comment être libre ? », c’est plutôt avec quoi ?
Et la réponse n’a rien à voir avec un nouveau trend.
C’est de digitaliser un métier solide, réglementé, qui paye depuis 40 ans et continuera encore dans 20 ans.
Et ce métier, c’est celui de mandataire d’intermédiaire en assurance.
Vous voulez du vrai ? Vous l’avez sous les yeux. Faut juste avoir les co*illes d’y aller.
Pourquoi devenir mandataire d’intermédiaire d’assurance dérange autant ?
Tous les jours, vous tombez sur des promesses de business miracle…
Des mecs en chemise blanche qui vous vendent la liberté géographique et le revenu passif en automatique.
Mais, personne ne vous parle de devenir mandataire d’intermédiaire d’assurance.
Et pourtant, c’est légal, stable, bien payé. Et, vous pouvez créer une activité MIA en quelques semaines, depuis chez vous, sans local, sans audience.
Pourquoi c’est si discret ? Parce que c’est un vrai métier, qui ne fait pas rêver les foules, mais qui fonctionne dans la vraie vie.
Pas besoin de tourner des Reels ou de générer du trafic. Ici, vous signez des contrats, vous touchez vos commissions, et vous recommencez.
Pas de bullshit. Pas d’algorithme.
Et surtout, pas 200 000 clones en train de jouer au même jeu que vous.
Le mandataire assurance indépendante est encore sous les radars.
Et c’est exactement pour ça que vous devez vous y intéresser maintenant — avant que tout le monde s’y jette.
Vous n’avez pas de diplôme ? Pas grave, personne n’en demande.
Là, on va remettre les pendules à l’heure.
Non, vous n’avez pas besoin d’un master, ni d’un CV blindé.
Pour devenir mandataire d’intermédiaire en assurance, ce qui compte, c’est pas vos diplômes… mais vos actions.
C’est un statut accessible à toute personne majeure, sérieuse, prête à suivre une vraie méthode.
La base ?
- Un référent (courtier ou agent agréé) ;
- Une formation courte (150h ou équivalent) ;
- Et une inscription ORIAS validée.
Pas plus, pas moins.
Et vous pouvez bosser depuis chez vous, en pyjama ou en jogging, tant que vous respectez le cadre.
Pas besoin de local, de vitrine, de clients fortunés.
Juste des contrats concrets et une relation de confiance avec les gens que vous accompagnez.
Et contrairement aux trucs « simples » que tout le monde vend, ici, vous êtes encore seul dans votre rue à le faire.
Pas de saturation. Pas de plateforme qui vous vire.
Un vrai métier, peu connu et fait pour durer.
Vous voulez changer de vie ?
Commencez par un statut que vous pouvez activer rapidement, sans tout casser autour de vous.
Créer une activité MIA aujourd’hui, c’est tout à fait possible. Et, c’est sans doute le move le plus intelligent à ce jour.
Créer son activité légale quand on part de zéro, c’est possible… mais faut pas faire n’importe quoi
Ce n’est pas parce que c’est accessible que vous devez faire les choses à la va-vite.
Créer une activité MIA ne veut pas dire juste remplir deux champs sur un formulaire.
Vous entrez dans un métier encadré, régi par le Code des assurances.
Donc oui, vous avez des obligations. Mais elles sont claires, précises et gérables.
Voici les conditions pour exercer comme mandataire assurance :
- Formation capacité professionnelle assurance (niveau I ou équivalent) ;
- Garantie financière assurance ;
- Assurance RC professionnelle ;
- Inscription ORIAS mandataire ;
- Et le respect des obligations déontologiques mandataire.
Tout ça, ça fait peut-être flipper au début. Mais c’est la base d’un métier sérieux, pas d’une arnaque Instagram.
Et vous avez deux façons d’y aller :
- Tout faire seul, au risque de vous planter sur les démarches, de bloquer votre dossier ORIAS, ou de galérer pendant 3 mois sans réponse.
- Ou être accompagné par un référent qui connaît le game, a déjà validé des dizaines de dossiers, et vous fait gagner du temps et de la légitimité.
Aujourd’hui, vous avez la possibilité d’intégrer un réseau de mandataires, avec un cadre clair, un accompagnement terrain, et un vrai plan de montée en compétence.
Mais, faut pas traîner.
Les bonnes structures ne recrutent pas 300 profils par mois.
Elles misent sur les plus motivés. Et, elles vous ferment la porte si vous arrivez en freestyle.
Devenir mandataire d’intermédiaire d’assurance, c’est le métier que personne ne vous présente (et ce n’est pas un hasard)
Parce que les vraies opportunités ne s’affichent pas sur Google Ads.
Vous pensez sérieusement qu’un courtier va vous dire : « Viens manger dans mon assiette » ?
Non. Ce milieu fonctionne encore à l’ancienne : si t’es pas introduit, t’existes pas.

Mais, si vous décrochez le statut de mandataire d’intermédiaire d’assurance, vous entrez dans un jeu très différent.
Un jeu où vous êtes payé pour chaque contrat signé, et surtout, chaque année tant que votre client reste.
Pas besoin de vous exposer, pas besoin de créer une audience, pas besoin de mentir.
C’est propre, légal, stable. Et très rentable.
Un métier reconnu, légal, qui génère des revenus passifs concrets
Le mandataire assurance indépendante, c’est un vrai taf. Rien à voir avec un énième rêve d’Instagram.
Vous êtes payé pour proposer des contrats d’assurance fiables et encadrés. Ce n’est pas vous qui créez le produit, c’est votre référent courtier qui vous fournit un catalogue solide, avec des contrats auto, santé, prévoyance, vie, etc.
Et à chaque signature :
- Vous touchez une commission immédiate, souvent entre 100 € et 300 € en moyenne ;
- Vous êtes payé de nouveau tous les ans, tant que le contrat vit ;
- Vous pouvez en cumuler autant que vous voulez, sans plafond ;
- Vous bossez à votre rythme, depuis chez vous, sans vendre votre âme au marketing.
Check-list terrain : ce métier est fait pour vous si…
- Vous savez convaincre sans forcer ;
- Vous êtes organisé, même en jogging ;
- Vous avez un entourage ou un réseau (même petit) à qui proposer une vraie aide ;
- Vous voulez un métier en ligne sans diplôme qui paie vite et bien ;
- Vous ne supportez pas l’idée de devoir vous filmer tous les jours pour exister ;
- Vous aimez les revenus passifs qui tombent même quand vous dormez.
Si vous avez 4 cases ou plus, ce job est fait pour vous.
Votre avenir, vous le construisez avec chaque contrat signé, pas avec des likes
Un contrat signé = du cash maintenant, puis du cash chaque année.
Et si vous en signez plusieurs par semaine ?
Vous passez en mode cumul, et c’est là que le modèle devient ultra-puissant.
Nombre de contrats/mois | Commission moyenne | Revenus mensuels | Projection annuelle |
---|---|---|---|
4 (1/semaine) | 150 € | 600 € | 7200 € |
8 (2/semaine) | 150 € | 1200 € | 14 400 € |
20 (5/semaine) | 150 € | 3000 € | 36 000 € |
Et ce, sans compter la récurrence l’année suivante.
Vous pouvez bosser selon vos forces :
- mandataire assurance auto : rapide à vendre, accessible ;
- mandataire assurance santé : touche tout le monde, fort besoin ;
- mandataire assurance vie : plus stratégique, grosses commissions.
Et vous n’êtes jamais seul. Avec un référent courtier multicartes, vous avez accès à des dizaines de contrats sans être expert.
Vous proposez, vous signez, vous touchez.
Et le tout sans créer d’entreprise complexe, sans stock, sans local, sans bullshit.
Comment devenir mandataire d’intermédiaire d’assurance étape par étape
Vous voyez le potentiel ? Très bien.
Mais, comment on devient mandataire d’intermédiaire d’assurance, concrètement ?

Je vous rassure, ce n’est pas la mer à boire. Mais, faut éviter les raccourcis pourris qu’on trouve sur les forums à deux balles. Vous voulez un vrai taf qui rapporte ? Faites-le proprement.
Les conditions à remplir pour exercer comme mandataire en toute légalité
Pas besoin d’un master en finance ni d’un costume trois-pièces.
Mais y’a quand même quelques cases à cocher si vous voulez obtenir votre statut juridique de mandataire assurance en toute légalité :
- ✅ Avoir un référent agréé (courtier multicartes ou agent d’assurance) ;
- ✅ Suivre une formation capacité professionnelle assurance ;
- ✅ Réaliser l’inscription ORIAS mandataire ;
- ✅ Souscrire une garantie financière assurance ;
- ✅ Prendre une assurance RC professionnelle ;
- ✅ Respecter les obligations déontologiques (code des assurances, confidentialité, etc.).
Important : faites-vous accompagner par un pro. Ne vous amusez pas à faire ça en solo. C’est le meilleur moyen de vous faire recaler avant la ligne de départ.
Et pour bien comprendre où vous mettez les pieds…
Tableau comparatif des statuts dans l’assurance
Statut | Niveau d’autonomie | Catalogue produits | Accès ORIAS | Rémunération |
---|---|---|---|---|
Apporteur d’affaires assurance | Faible | Très limité | Non | 1 fois à la signature |
Mandataire d’intermédiaire | Moyen à élevé | Large (via le référent) | ORIAS N°2 | Récurrente + cumulable |
Courtier | Total | Illimité (mais très difficile d’accès) | ORIAS N°1 | Récurrente + complète |
Le mandataire assurance indépendante, c’est le meilleur compromis pour démarrer vite, légalement et intelligemment, sans avoir besoin de créer un cabinet entier.
Le minimum de formation, le maximum d’impact
Non, vous n’avez pas besoin de refaire vos études.
Une simple formation capacité professionnelle assurance niveau I suffit pour être reconnu par l’ORIAS.
Et vous avez le choix :
- Formations en ligne ;
- Présentiel accéléré ;
- Protocole complet (type Courtageo).
Durée ? Parfois moins d’un mois, si vous êtes sérieux.
Contenu ? Pas de théorie inutile. Juste ce qu’il faut pour valider l’ORIAS et comprendre vos obligations.
Avec un protocole bien ficelé, vous pouvez obtenir votre immatriculation ORIAS et commencer à générer des commissions assurance en 30 jours.
Vous serez mandataire d’intermédiaire en assurance officiel. Pas un touriste.
Créez votre activité indépendante de mandataire assurance sans prise de tête
Bon, vous avez l’agrément en poche ou presque. Maintenant faut créer votre activité indépendante, et là encore, pas besoin de vous arracher les cheveux. Pas besoin non plus de payer 3 000 balles à un cabinet chic pour faire trois clics à votre place. Si vous savez remplir un formulaire de carte grise, vous allez survivre.

La vérité, c’est que monter votre activité de mandataire assurance indépendante, c’est beaucoup plus simple que ce qu’on veut vous faire croire. Et avec un bon référent derrière vous, c’est plié sans prise de tête.
Créer son activité indépendante avec un statut simple et rapide
Si vous partez de zéro, le plus fluide reste le régime micro-entreprise MIA. C’est rapide, souple, fiscalement clean. Vous encaissez vos commissions, vous déclarez, vous dormez tranquille.
Voici les statuts possibles, selon votre vision long terme :
Statut juridique | Avantages | À savoir |
---|---|---|
Micro-entreprise MIA | Création ultra-rapide, charges réduites, bon pour démarrer | Plafond de chiffre d’affaires, pas de déduction de frais |
SASU mandataire assurance | Protection du dirigeant, crédibilité, optimisation paie possible | Comptabilité plus lourde, cotisations sociales |
EURL mandataire assurance | Simplicité de gestion, choix entre IR et IS | Plus rigide qu’une micro, à réserver si vous comptez scaler |
Astuce terrain : si vous êtes déjà en micro pour une autre activité (freelance, artisan…), il suffit d’ajouter le code APE assurance (6622Z) à vos activités. C’est tout. Vous êtes dedans.
Vous êtes donc officiellement dans le game. Plus qu’un simple apporteur d’affaires d’assurance qui file un contact contre un chèque unique.
Vous, vous touchez des commissions récurrentes, vous construisez un vrai revenu passif, et vous faites partie d’un réseau de mandataires solides.
Les 3 erreurs à éviter quand vous vous déclarez mandataire d’assurance
Maintenant, un petit avertissement.
Vous pouvez aussi vous foirer. Salement.
Alors voici les pièges que je vois tous les mois, même chez les gens qui avaient tout bon… sur le papier.
3 erreurs à ne pas faire quand vous vous lancez :
- Vous déclarer sans avoir de référent :
C’est comme prendre le volant sans permis. Vous pouvez avancer, mais dès qu’on vous arrête, c’est fini. Sans courtier référent, votre statut ne vaut rien. - Choisir le mauvais statut juridique :
Trop souvent, des gens prennent une SASU alors qu’ils ne feront que 500 € de CA au début. Résultat : des charges dans le vent et un stress administratif pour rien. - Bâcler votre inscription ORIAS :
Une case mal cochée, un doc mal scanné… et c’est refus immédiat. Ou pire : votre numéro saute au premier contrôle et vous perdez toutes vos commissions. Brutal.
Si vous partez avec un protocole comme celui de Fabien, vous êtes accompagné du dossier à la validation. Zéro erreur. Zéro stress.
Devenir mandataire d’intermédiaire d’assurance : combien vous pouvez gagner ?
Vous en avez assez de bosser 35h pour un SMIC qui fond comme neige au soleil ?
Préparez-vous à faire exploser vos croyances, parce que devenir mandataire d’intermédiaire d’assurance, c’est pas un plan foireux sur Telegram.
C’est du cash concret, récurrent, propre, et surtout prédictible.

Quand vous comprenez la mécanique, vous arrêtez de courir après les promesses bidons : ici, chaque contrat signé peut vous rapporter pendant des années.
Et plus vous êtes malin, plus ça grimpe vite.
Des commissions qui tombent sans que vous ayez à relancer qui que ce soit
Le fonctionnement est simple :
- Vous signez un client.
- Il paie sa prime d’assurance.
- La compagnie reverse une commission à votre courtier référent.
- Et vous la touchez dans la foulée.
Pas besoin de relancer, d’émettre de factures, ou de vous prendre la tête avec l’administratif.
Votre job ? Démarcher. Conseiller. Signer. Et recommencer.
Et le meilleur dans tout ça ?
C’est que vous touchez à chaque renouvellement du contrat. Même si vous êtes à la plage, ou sous la couette.
C’est du revenu passif assurance. Du vrai. Du durable. Pas une illusion marketing.
Voici une grille indicative des commissions, pour que vous sachiez dans quoi vous mettez les pieds :
Type de contrat | Commission moyenne | Récurrence |
---|---|---|
Assurance auto | 50 à 100 € | Annuelle |
Complémentaire santé | 80 à 150 € | Annuelle |
Assurance emprunteur ou vie | 200 à 500 € (voire +) | Annuelle |
➡️ 10 contrats par mois, et vous êtes déjà autour de 1 500 à 3 000 € de revenu mensuel récurrent.
➡️ En 6 mois, vous avez bâti une base stable qui tourne sans que vous deviez tout recommencer à zéro chaque mois.
Ce n’est pas une startup. Ce n’est pas de l’influence. Et, c’est encore moins un jeu.
C’est un vrai métier de mandataire d’intermédiaire en assurance qui récompense la régularité, la rigueur, et l’envie d’apprendre.
Et pour ceux qui me diront « oui, mais moi j’ai pas de réseau », respirez :
Vous pouvez travailler à temps partiel, le soir ou le week-end, sans local, depuis chez vous, en ciblant les gens que vous connaissez.
Vous pouvez anticiper vos revenus (et dormir tranquille)
Arrêtez de prier pour que votre TikTok ne tombe pas dans l’oubli ou que le tracking de votre lien affilié ne saute pas.
Ici, vous savez.
Si vous avez signé 25 contrats en avril, vous savez combien vous allez toucher en mai, en juin, en juillet…
C’est pas un espoir. C’est un tableau prévisionnel vivant.
Et en bonus ? Vous avez le choix du terrain de jeu :
- Vous êtes calé en bagnoles ? Devenez mandataire assurance auto.
- Vous connaissez du monde dans la santé ? Optez pour mandataire assurance santé.
- Vous avez des contacts dans l’immobilier ou la banque ? Mandataire assurance vie.
Et une fois que vous maîtrisez votre spécialité, vous pouvez élargir grâce à votre réseau de mandataires.
Vous accédez à un catalogue de produits énorme, sans avoir à supplier les compagnies ni à créer une SASU à 10 000 € de capital.
Et là, le mot « entrepreneur web » prend tout son sens.
Parce que vous êtes libre, digitalisé, mais adossé à une vraie industrie : celle de l’assurance.
C’est peut-être la première fois que vous aurez une activité qui ne dépend pas des tendances ou de votre nombre d’abonnés.
Une activité prévisible, valorisante, rémunératrice, et scalable.
Et contrairement à un simple apporteur d’affaires d’assurance, ici, vous êtes inscrit à l’ORIAS. Vous jouez dans la cour des pros.
Devenir mandataire d’intermédiaire d’assurance : vous avez une vraie opportunité sous les yeux. Vous en faites quoi maintenant ?
Arrêtez de chercher la faille. Elle est là.
Et, elle est ouverte.
Si vous avez lu jusqu’ici, c’est que vous savez. Que ça vous parle. Que ce n’est pas juste un effet de style ou une énième promesse LinkedIn.
Devenir mandataire d’intermédiaire d’assurance, c’est un vrai plan de sortie, un vrai statut, un vrai revenu. Pas un mirage, pas un énième jeu d’influence.

Vous avez entre les mains :
- Un métier reconnu, encadré par le code des assurances ;
- Une inscription légale avec l’immatriculation ORIAS ;
- Une rémunération récurrente versée chaque mois ;
- Zéro stock, zéro produit, zéro réseau social ;
- Et surtout : un référent solide qui gère le back-office et sécurise votre lancement.
Vous cherchez un job à distance qui cumule les avantages d’un business en ligne et la structure d’un vrai métier ?
Alors, vous êtes au bon endroit. Et le timing est parfait.
Ce que vous allez réellement construire (si vous ne vous sabotez pas)
La majorité va lire… et fermer l’onglet. Comme toujours.
Ils continueront à chercher le prochain tunnel miracle ou à spammer les commentaires pour vendre une énième formation à 37 €.
Mais vous, si vous êtes encore là, c’est probablement que vous avez pigé. Que le modèle fonctionne. Qu’il est fiable. Et surtout, qu’il est accessible à condition :
- d’avoir le bon cadre légal ;
- d’être introduit proprement via un réseau de mandataires ;
- de vous former rapidement, sans bullshit ;
- et de générer des commissions sur chaque contrat validé.
Vous pouvez travailler dans l’assurance sans diplôme, depuis chez vous, sans réseau physique, et cumuler plusieurs sources de revenus avec un métier en ligne sans diplôme, scalable, durable, propre.
Ce qui fait la différence : le bon protocole, le bon référent
On va être clairs : vous ne trouverez pas ce genre de tremplin sur Leboncoin.
Il faut :
- Une formation capacité professionnelle assurance ou un protocole reconnu ;
- Une assurance RC professionnelle ;
- Un statut juridique de mandataire assurance indépendant (micro-entreprise, SASU, EURL…) ;
- Et un référent ORIAS n°2 qui connaît le terrain, pas un pseudo-expert TikTok.
Ce combo-là, c’est le ticket d’entrée dans la machine.
Un vrai système qui tourne, avec :
- Des produits d’assurance auto, santé, vie ;
- Un catalogue de contrats déjà validés ;
- Un reversement automatique des commissions ;
- Et aucune paperasse côté client.
Vous voulez générer des revenus passifs assurance, sans vous cramer la tête dans un business foireux ?
Alors ne restez pas sur le trottoir.
À retenir (et à ne pas oublier dans une semaine) :
- Oui, devenir mandataire d’intermédiaire d’assurance, c’est légal, carré et rentable.
- Non, ce n’est pas saturé, parce que 99 % des gens n’ont ni les contacts, ni le cadre.
- Oui, vous pouvez démarrer proprement, sans audience ni réseau.
- Non, ce n’est pas magique, mais c’est carrément accessible si vous bougez maintenant.
Ne jouez pas au touriste.
Le bus ne passe pas deux fois. Et ici, on vous tend les clés, pas une promesse en pixel.
Tout est prêt. Il ne manque plus que vous.